Il monte à cheval et porte le nom d'un empereur romain. Mais c'est un chimpanzé, redoutablement intelligent. Voici César qui veut venger sa famille massacrée par des soldats humains au comportement plus bestial que les singes... C'est l'un des mérites de la Planète des singes que d'opérer un renversement de perspective. Ce sont les primates du film qui exaltent les qualités humaines, ou plutôt humanistes, d'entraide, de tolérance, de solidarité. Les humains, qui perdent l'usage de la parole à la suite d'une mystérieuse épidémie, s'entretuent, précipitant leur propre disparition. César combat un chef paramilitaire, campé par Woody Harrelson pastichant le Marlon Brando halluciné d' Apocalypse Now de Francis Ford Coppola Crépusculaire et curieusement anti-spectaculaire, ce troisième volet de la nouvelle saga Planète des singes est un blockbuster tout à fait recommandable. On peut prendre un véritable plaisir à apprécier la prestation d'Andy Serkis, le comédien britannique de 53 ans qui prête ses expressions à César par la grâce du procédé de Motion capture.
La Planète des Singes: l'Affrontement - Extrait (3) VF - Vidéo Dailymotion Watch fullscreen Font
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/ Culture Cinéma Publié le: 02/08/2017 - 08:01 Modifié le: 02/08/2017 - 08:13 C'est le comédien britannique Andy Serkis qui reprend pour la troisème (et dernière fois) le rôle de César dans le 3e volet de la saga «La planète des singes: suprématie» DR En ce premier mercredi du mois d'août, les suites de franchises hollywoodiennes envahissent les écrans: «Cars 3», comme son titre l'indique, le troisième volet du film d'animation Disney Pixar prenant pour héros une voiture de course. Autre blockbuster qui risque d'affoler le box office, «La Planète des singes - Suprématie», le troisième volet de la saga réinitiée en 2010. Il s'agit du prologue à l'histoire de science-fiction imaginée par l'auteur français Pierre Boulle en 1963, et dans lequel les singes ont pris le pouvoir et réduit les humains en esclavage. Dans ce film de Matt Reeves l'affrontement entre les singes et les hommes se précise. C'est un leader révolutionnaire. Un chef rebelle, qui a trouvé refuge dans la forêt avec ses troupes.
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Réservé aux abonnés VIDÉO - Le troisième et ultime volet de la saga mêle habilement spectaculaire et émotion. Un bel hommage à la légende de Hollywood. Publié le 01/08/2017 à 16:15, Mis à jour le 01/08/2017 à 17:45 Nous y voilà. Cette fois, c'est la guerre. Dans ce troisième épisode de la nouvelle saga, l'humanité a du souci à se faire. L'humanité, enfin ce qu'il en reste. Pour vous donner une idée: elle vit dans un camp retranché et est commandée par Woody Harrelson qui s'est rasé le crâne comme le Marlon Brando d' Apocalypse Now. Pour que la citation soit bien claire, il se saoule comme Martin Sheen dans sa chambre d'hôtel à Saïgon et s'enduit le visage de boue. Pour ceux qui n'auraient vraiment pas compris l'allusion, un graffiti peinturluré sur un mur évoque le titre de Coppola, dans un jeu de mots intraduisible en français («Ape-ocalypse »). « "Suprématie" balaie les réticences des plus sceptiques, réveille les plus endormis des spectateurs » Le film est vu du côté des singes. Ils ne veulent plus être des sauvages.